Voici les photos d'une malle courrier Louis Vuitton, sortie de son grenier par un de nos clients.
La malle est blanchâtre, sale. Les laitons sont oxydés.
Le principal challenge, en l'occurrence, est de traiter cette toile spéciale, utilisée par Vuitton à la fin du 19ème siècle.
Le monogramme est formé par le tissage de la toile.
Le nettoyage peut commencer.
"les malletiers parlent aux malletiers"
- le crapaud l'est pas beau
- la lozine se débine
- la serrure n'est pas sûre
- la cornière n'est pas fière
- la penderie me défie
- les tiroirs broient du noir
JCB malletier en déprime de 14 secondes :-)
L'émission GsunTheim de Christian Hahn sera diffusée Dimanche 18 mars à 11h25.
Pour organiser un joyeux souk, rien de tel qu'une équipe de télévision, venant tourner une émission avec comédiens dans le musée du bagage.
1 réalisateur, 1 script, 1 maquilleuse, 3 machinistes, 2 cameramen, 1 ingénieur du son, 1 régisseur, des comédiens, 2 présentateurs,
Ajoutez des câbles, des fils, des spots, des caisses...
Agitez le tout... et voilà... C'est un joyeux souk pendant 2 jours.
Quand Louis Vuitton, la première marque de luxe au monde, a envisagé de poser ses valises dans l'Allier, le pays saint-pourcinois et ses 5.000 habitants ont retenu leur souffle, conscients de la formidable opportunité qui s'ouvrait à eux. C'était en 1988, peu de temps après la fermeture de l'usine de chaussures Bally qui laissait sur le carreau tout un personnel féminin sans aucune perspective d'avenir.
Vingt ans plus tard, toutes, ou presque, ont pu rester au pays grâce à l'ouverture en 1990 du premier atelier Louis Vuitton. « Louis Vuitton a pris le relais du secteur de la confection sérieusement sinistré à la fin des années 80, rappelle Alexandre Bessard, l'ancien directeur du Comité d'expansion économique. La main-d'oeuvre féminine qualifiée du département a trouvé une sécurité de l'emploi ». Sur les 650 personnes employées dans les ateliers Louis Vuitton à Saint-Pourçain, 70 % sont des femmes, la majorité titulaire de contrats à durée indéterminée.
« Au moment de choisir son implantation, Louis Vuitton a travaillé avec les élus de Saint-Pourçain, comme avec ses cadres, se souvient le maire, Bernard Coulon. Leurs dirigeants exigeaient une réponse le soir même à la question qu'ils avaient soulevée le matin ». Depuis le pays saint-pourcinois traite le moindre projet économique avec la même philosophie. Avec le succès que l'on sait et qui fait aujourd'hui de ces « terres du milieu », le quatrième bassin économique de l'Allier.
Parce que le marché du luxe se porte toujours bien malgré la crise, Louis Vuitton n'exclut pas de continuer à se développer à Saint-Pourçain. Un quatrième atelier serait même dans les valises. Ce que de son côté le leader mondial de la maroquinerie de luxe se refuse, pour l'instant, à confirmer. Il faut dire que dès l'annonce de la construction du second atelier Vuitton en 1995, Louis Vuitton avait reçu plus de? 3.000 lettres de candidatures en l'espace d'un mois.
Article de Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. du Journal la montagne
On nous demande souvent et on voit parfois des annonces sur le Web . " Malle de corsaire ", "malle de flibustier" !
Un petit rappel histoire s'impose :-)
Dans la seconde partie de l'article, vous pourrez voir que, pour la majorité des " loups" de mer, la période phare est la fin du 17ème siècle.
A cette époque, on use de coffres en bois simple ou de coffres en métal .
Vous ne trouverez donc pas, à proprement parler, de "malles de pirates".
- Un coffre est un mobilier doté de poignées, fait pour être déplacé, transporté à l'occasion d'un déménagement .
- Une malle est un mobilier fait pour voyager (le plus souvent étanchéifié, renforcé par des lattes de renfort et de la bijouterie) et l'age d'or des malles remonte au début du 19ème.
Ainsi , je pourrais, avec plaisir, vous restaurer, même gratuitement, un coffre de pirate du 17ème siècle. Par contre, je ne pourrais pas en vendre, en effet, nous n'avons trouvé que 1 coffre de 1640 en 10 ans .
C'est au détour d'une ruelle haguenovienne proche d'une gare, un endroit comme prédestiné à faire résonner en eux l'univers du voyage, que Jean-Philippe et Marie Rolland ont accueilli samedi un public prêt à découvrir ou redécouvrir l'histoire des malles.
Comme aime à le dire l'hôte de la journée, « on a tous une malle dans notre grenier ». Dans le hall d'accueil et la première partie de l'exposition, Jean-Philippe Rolland guide les visiteurs à travers l'histoire particulière de la malle de voyage, liée intimement au mode de voyage et à ses transformations, et, parallèlement, aux évolutions de la mode et des arts décoratifs.
C'est dans un plaisir communicatif que le public évolue, sans arrêt ou correspondance, au gré des anecdotes et du plaisir du couple à l'origine de « La Malle en coin », un projet qui vise à redonner vie aux malles de voyage anciennes, bercé par la richesse de la collection.
L'auditoire, emporté à travers deux cents ans d'histoire, se laisse guider au rythme d'un savoir-faire artisanal, que ce soit par les explications décrivant la restauration d'anciennes pièces ou l'aménagement de malles dans le but d'en faire des objets décoratifs.
Dans les « coulisses », les ateliers des époux Rolland, une multitude de compétences se côtoient, œuvrant dans une même logique : « Enlever un voile sur un objet » et « écouter l'objet qui nous raconte une histoire », détaille Marie Rolland. Au final, le public devient voyageur, et se surprend à fermer les yeux, sentir une odeur de thé chaud, ressentir les chocs du train l'entraînant vers sa destination.
Le prochain arrêt se fera à l'aérodrome de Haguenau, avec une installation prévue au printemps-été 2011. Dans un bâtiment de 400 m² où pourront s'agencer confortablement musée, ateliers et stages d'initiation de quatre jours, proposés gratuitement dans l'idée d'expérimenter les bases et les méthodes de restauration de malles de voyages.
Avec « La Malle en coin », Marie et Jean-Philippe Rolland racontent une histoire passionnée où se mêlent rêves, coïncidences, savoir-faire et plaisir de faire. Une histoire qui appartient à tous, lorsque dans un grenier l'on ouvre, sans savoir ce qu'elle va révéler, une malle poussiéreuse, et que l'on saute dedans à pieds joints.
«La Malle en coin», Marie et Jean-Philippe Rolland, Tél: 03 88 93 28 23. www.la-malle-en-coin.com
Un livre vient de sortir aux Éditions de la Martinière .
Ce livre vient en complement de l'exposition qui se tiendra
du 13 Octobre 2010 au 27 Fevrier 2011 au musee
Carnavalet a Paris .
Prix du livre : 100 euros en librairie .
Vous y découvrirez 100 malles de legende ..
La Video :
Des dimensions de culturiste : 84 cm x 136 cm x 58 cm
Une malle géante avec un potentiel d'aménagement absolument unique..
Mais que mettre à l'intérieur ?
Je vous invite à nous proposer vos meilleures idées ..
Et voici et voila ..
Après 10 ans de patience, nos nouveaux locaux sont acquis.
Nous déménagerons courant de l'année 2011, dans des locaux de 400m2 de plain pied.
60 m2 seront réservés à la partie gainage,
45 m2 à la partie ébénisterie et sera cloisonnée,
190 m2 à la zone exposition et musée qui seront cloisonnés et sécurisés.
A l'intérieur, 2 containers maritimes serviront de coffre-fort et d'expo aux pièces les plus rares.
Le reste des locaux servira de stockage et d'atelier de restauration.
Locaux du musée
Première étape, déplacer et classer les malles non restaurées.
Portraits de figures importantes de la maison Vuitton
Une sélection de catalogues et de livres Louis Vuitton.
Présentation de la gamme Louis Vuitton
Restauration et conseils d'entretien de malles Louis Vuitton
Conseils d'achat, idées décos... Pour vos malles Louis Vuitton.
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