François Goyard apprend le métier d'emballeur chez Monsieur Morel, un Layetier, Coffretier, Emballeur. (note : LV travaille chez Maréchal) situé au 233, rue Saint Honoré à Paris.
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Malle Goyard Morel 1853 François Goyard prend la succession de Morel, en 1853, qui lui-même avait succédé à la fameuse Maison Martin, le fournisseur de son Altesse Royale la Duchesse de Berry. Edmond, le fils de François, va développer à la fin du XIXème siècle une toile imperméable et inaltérable pour recouvrir les malles : la toile aux chevrons.
La Maison Goyard participe à plusieurs Expositions Universelles où elle remporte de nombreux prix, Paris, Londres, Bruxelles... Au début du XXème siècle, Goyard s'associe aux grands carrossiers comme J. Rothschild et fils, pour concevoir des malles s'adaptant parfaitement aux voitures.
Decouvrez l'article du blog sur le livre Goyard qui raconte leurs histoire
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En 1936, Robert Goyard fonde le Comité Vendôme, qui regroupe les prestigieux commerces de la Place Vendôme, mais c'est surtout en 1931 que Robert développe la malle bureau que Conan Doyle va immédiatement se faire fabriquer sur-mesure. Désormais sous la direction de Jean-Michel Signoles, la marque aux chevrons poursuit son essor, se développant à l'international tout en perpétuant le savoir-faire de la Maison Goyard : Malle à bougies, Malle à vins, Malle à bijoux, Malle à parfums, Malle penderie, Malle pour l'équipement d'un joueur de polo...
Suite des malles Goyard pages suivantes (exemples de malles Goyard à vendre ? : acheter une malle Goyard ?
(Descendante de la famille de Aleksander Stanisław Potocki), qui a pu fuir la Pologne et se réfugier en Suisse lors de la seconde Guerre mondiale. Cette malle, en bon état, représente l'archetype des bagages des familles de la noblesse de cette époque. Les bandes d’écurie jaune et bleue reprennent le blason de la famille.
Le monogramme SP est précédé de la couronne de Comtesse à 9 branches. Vous remarquerez que les bandes d’écurie de la malle armoire, présentée également sur cette page, sont identiques.
Sans en avoir la certitude, il semblerait que cette malle ait la même provenance... (Nous avons trouvé ces 2 malles près de la frontière Suisse) Liens: http://fr.wikipedia.org/wiki/Aleksander_Stanis%C5%82aw_Potocki http://fr.wikipedia.org/wiki/Stanis%C5%82aw_Kostka_Potocki http://genealog.home.pl/gd/szablony/osoba.php?lang=en&id=008919
La malle armoire est la plus connue des malles de luxe.
Accompagnant le passager en croisière, permettant de ranger un ensemble complet, c'est également la plus pratique des malles personnelles.
La malle des voyageurs en paquebot.
Ces malles étaient positionnées sous le lit des cabines durant le voyage.
Moins courantes, ces malles permettent de ranger côte à côte plus d'une dizaine de paires de chaussures, toutes calées dans des chassis gainés de suédine.
Suite des malles Goyard pages suivantes.
La malle courrier est un grand classique.
De dimensions courantes de 100X80X80, elles sont la base de la bagagerie.
Durant la Guerre de 39-45, de nombreuses familles fuyant l'occupant ont fait repeindre ou repeignaient elles-mêmes leurs malles de luxe en noir, de façon à dissimuler les traces d'un luxe peu discret en cette période.
Ainsi, cette malle Goyard dispose de sa toile chevron, cependant, celle-ci a eté cachée sous une couche de peinture noire. Seule la serrure permet, à l'amateur averti, de distinguer la qualité de cette pièce.
La malle automobile ci-dessous était créée et dessinée spécialement pour un
modèle précis d'automobile.
Le plus ancien des meubles ? Mot qui date du 9ème siècle, issu du haut Allemand, Malaha ou malha et signifie sacoche. Le coffre est le plus ancien meuble, et l'un des rares meubles du Moyen Age. À l'époque, il servait de chaise, de table, de malle... Les malles existent depuis que l'homme voyage. Leur fabrication cependant s'est accélérée lors du développement du transport ferroviaire dans les années 1870. Vous trouverez donc plus de malles postérieures à cette période.
Il existe 2 sortes de "formes":
Les fabrications se sont multipliées jusque dans les années 30-40 et c'est après guerre que la malle a plus ou moins disparu. Les derniers "malletiers" qui existent sont : - Vuitton , Goyard, Ephtee (bordeaux ), la malle Bernard et Old England (qui ne fabrique plus).
Le mot "valise" est attesté depuis le XVIe siècle, mais on ne connaît pas son origine avec certitude. Le terme est peut-être issu de l’italien valigia, qui renverrait à un sac, ou d’un verbe qui aurait le sens de «protéger», la valise protégeant son contenu.
Le métier d’emballeur remonte déjà aux environs de 1521. Sous François 1er, il est fait mention de statuts régissant cette profession. Le mot Layetier apparaît en 1582 et tire son origine de "Laie", qui est un petit coffre où sont conservé les bijoux, documents de valeur... Au 19ème siècle, les deux mots layetier et emballeur sont associés pour désigner une même profession.
L’emballeur prend la cote de tous les objets à transporter (à l’époque, une diligence, ça bouge, et il faut donc protéger tout ce qui est déplacé) et crée sur mesure une caisse. Contrairement à l’ébénisterie traditionnelle, l’emballeur n’utilise pas d’assemblage mais réunit avec des clous, éventuellement des lames métalliques, des petits liteaux et parfois une charnière et une serrure.
On choisit d’emballer en toile grasse ou en toile sèche. La toile grasse est imprégnée de substances bitumeuses, chauffée sur de la paille et tendue très fortement sur la caisse, ensuite on étend la toile sèche. Cela préserve à la fois de l’humidité, des intempéries et des déchirures.
Sources : Louis Vuitton, Une saga francaise de Stephanie Bonvicini chez Fayard
Des déplacements réguliers et importants s’effectuent vers quelques sites réputés tels les grands sanctuaires de Delphes, d’Eleusis et Olympie qui attire avec ses jeux. Avec l’Antiquité romaine se développent les déplacements vers des lieux de villégiature (Herculanum) et les pèlerinages (sanctuaires de Grèce, d’Egypte, d’Asie Mineure), entraînant la mise en place de diverses infrastructures d’accueil (auberges, gîtes…).
Au Moyen Âge, les échanges commerciaux (les routes vers l’Orient, les grandes foires commerciales) et la ferveur religieuse (pèlerinages vers Saint-Jacques de Compostelle, La Mecque…) entraînent une intensification des déplacements.
La période de la Renaissance, qui apporte de nouvelles considérations sur le monde, favorise une nouvelle idée du voyage : le voyage d’agrément et de découverte. Les artistes et les philosophes visitent l’Italie qui devient le pays le plus prisé du continent européen.
Au XVIIIème siècle, les voyages se multiplient, initiés en partie au XVIIème siècle par les jeunes aristocrates anglais qui effectuent « le Grand Tour ». Ce Grand Tour, voyage initiatique destiné à parfaire l’éducation et les humanités est à l’origine du mot « tourist ». À cette époque en Françe, le terme "touriste" s’emploie pour désigner des "voyageurs qui ne parcourent des pays étrangers que par curiosité et désœuvrement et se dit surtout des voyageurs anglais en France, en Suisse et en Italie"(Littré de 1803). C’est également à cette époque que les fabricants de bagages, appelés alors Layetiers-Emballeurs vont développer leur talent et leur ingéniosité, pour devenir de véritables entreprises .
À la période des précurseurs, le voyage est une véritable aventure : il est long et dangereux. Les conditions de voyage sont difficiles et l’on parle « d’aventuriers » et « d’explorateurs ». On se déplace à pied, à cheval, en diligence, ce qui nécessite d’emporter avec soi de nombreux et encombrants bagages. De longs cortèges de chariots transportent malles, cantines et coffres… Puis le voyage va connaître un véritable essor. Le mot "tourisme" apparaît en 1841, année même où Thomas Cook ouvre en Angleterre une agence de voyages. La publication des Mémoires d’un touriste de Stendhal popularise ce mot.
Ils permettront l’évolution et la multiplication des moyens de transports. Le temps et les distances vont se réduire. L’industrialisation du 19ème siècle va donc ouvrir de nouveaux horizons aux voyageurs et facilitera l’essor de différentes formes de voyages dont le caractère à l’origine "utilitaire" s’amenuise au cours du siècle pour laisser place au tourisme d’’agrément : le tourisme thérapeutique, la découverte de la montagne, les bains de mer, le tourisme sportif… De nombreuses organisations touristiques et l’édition de guides de voyages verront le jour en France. Les premiers voyages organisés gèrent le transport des voyageurs, la prise en charge des bagages, l’hébergement et les repas.
Avec la loi des premiers congés payés de 1936 puis durant les Trente Glorieuses, le tourisme va se développer jusqu’à devenir un « tourisme de masse ». Qu’ils soient expéditions, périples, croisières, excursions, pèlerinages, pérégrinations, balades, promenades, randonnées, tours, tournées, virée... Pour chaque voyage, le bagage sera adapté. Il va évoluer pour remplir une double fonction : faciliter la vie des usagers et protéger leurs effets.
L’invention du train reste l’un des formidables progrès techniques du XIXème siècle. Il permet d’aller plus vite, plus loin dans des conditions bien plus confortables. Ce nouveau mode de déplacement va induire de nouveaux types de bagages. Pour satisfaire une clientèle très argentée, exigeante, qui garde le besoin de s’entourer de tout son nécessaire et du superflu, les fabricants vont inventer des bagages plus légers et plus pratiques, mais aussi de multiples accessoires. Des trains amènent les voyageurs au bord des plages, d’autres vers l’Orient, l’Asie et l’exotisme...
Et parmi ces trains mythiques, le plus emblématique est l’Orient-Express, symbole des grands voyages, avec son luxe et son mystère...mais tout cela ne s’adresse qu’à certains privilégiés. Ce n’est qu’à partir des années 30, mais surtout des années 50 que le voyage se démocratise entrainant l’évolution du bagage. La lourde valise ou malle, qu’emmènent les porteurs sur leur chariot jusqu’au compartiment, va laisser place à des valises de toutes sortes (en cuir, en carton, en tissu, en plastique...) dont la fabrication, devenue industrielle, va considérablement diminuer le prix et le poids : dorénavant, le bagage, on le transporte soi-même. Les temps de voyage sont cependant encore longs. Ainsi un Strasbourg-Paris dure 11 heures en 1900 contre 2h15 de nos jours.
Avec le paquebot qui emmène le touriste, l’émigrant vers de lointains continents, le temps du voyage devient un temps particulier. Pendant plusieurs jours, la vie sur le bateau va être celle d’une micro-société, avec ses règles, ses occupations et ses normes de confort. Cette nouvelle façon de voyager s’accompagne de nouveaux bagages, comme les fameuses malles cabines, aux dimensions standardisées, que l’on emportera en nombre pour pouvoir disposer de tout le nécessaire pour une vie mondaine. Bien sûr, rien de commun entre le passager de première classe, installé dans un luxe confortable, et l’émigrant passager de troisième classe, logé près des machines, qui n’aura souvent qu’une valise ou un balluchon pour tout bagage. Mais tous deux partent pour de nouvelles aventures, vers un monde nouveau. Symbole de cette grande aventure sur mer, la saga des transatlantiques commença avec les premiers transports de passagers à l’aube des années 1800.
Dans les guides du passager de la Cunard Line, on découvre ainsi que :
Vers 1912, un Paris>New-York prend 10 jours.
Au début du 20ème siècle, après l’apogée du tourisme ferroviaire, la naissance de l’automobile va transformer l’art du voyage. Plus démocratique, avec la production industrielle de l’automobile, mais aussi plus individuel, plus nomade et plus aventureux, le voyage se transforme et avec lui les bagages. La voiture, c’est la liberté de découvrir, d’aller et même de retourner, là ou l’on veut, quand on veut, près ou même loin...
L’automobile, c’est aussi la découverte de contrées moins accessibles ou plus difficiles comme la montagne, les déserts ou la Savane. Va alors apparaître une multitude de bagages plus légers, plus pratiques, plus résistants et s’adaptant aux choix de voyages des touristes. On va passer des bagages sur-mesure adaptés au coffre de la voiture, aux cantines en métal pour emporter tout l’équipement dont on aura besoin pour un séjour de vacances. Les fabricants rivaliseront d’imagination technique pour diminuer le poids et l’espace occupé, et pour répondre à toutes les nouveautés qui accompagneront l’évolution du touriste.
Dès le début du 20ème siècle apparaît un nouveau moyen de transport : l’avion. Durant ses toutes premières années d ‘existence, il est réservé aux aventuriers suicidaires car il est un moyen de déplacement peu fiable. Mais très vite, il deviendra un moyen de transport privilégié. Cette révolution technologique aura sur le voyage un impact considérable, car elle mettra le monde à la portée de tous. Il a fallu accompagner cette évolution avec de nouveaux bagages encore plus solides, encore plus légers, encore plus pratiques, contraints au manque de pression. De nouveaux matériaux seront utilisés comme l’aluminium et les matériaux de synthèse, le voyageur ne pouvant emporter avec lui qu’un poids limité de bagages. Cette période qui débute principalement dans les années 50 voit la disparition de nombreuses entreprises de malletiers.
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Vous n'avez pas le temps ou pas la compétence de la refaire.
Votre malle a intrinsèquement une valeur soit sentimentale soit financière et vous ne voulez pas la laisser s'abîmer dans un coin. Vous lorgnez sur une belle malle dans une brocante mais elle est totalement "foutue"...
Vous trouvez une malle sur le site et vous aimeriez que nous réalisions la restauration. Le coût d'une restauration varie très largement en fonction de la malle et des prestations demandées. Une malle simple sera restaurée pour un budget aux environs de 200 €, une malle Wardrobe est évidemment beaucoup plus complexe !
Quelques temps de référence :
- Restauration extérieure et intérieure d'une malle classique - Démontage des éléments, lavage, brossage, ponçage, teinte, cire et habillage intérieur représentent environ 20 à 30 heures de travail suivant le modèle de malle
- Restauration extérieure et intérieure d'une malle Wardrobe / Armoire / cabine
Le capitonnage intérieur d'une Wardrobe prend environ 10 h + env. 2 heures / tiroir
Rollandjpr (arobasce) gmail.com
Exemple :
Notre première commande publique :
Le musée de L'Hydraviation à Biscarrosse nous a confié une malle cintrée des années 20 à restaurer en conservant l'esprit d'origine. La malle sera exposée à coté d'un mannequin d'hôtesse de l'époque !
Si vous choisissez une malle "bois", ce nuancier peut vous être expédié en haute définition
de façon à choisir la teinte qui vous convient.
Il est évident que si la toile de votre malle est en état, la conserver est la meilleure solution, tant du point de vue économique, historique, qu'esthétique.
Edité en avril 2008, aux éditions Eyrolles (www.Eyrolles.com), le guide a eu son succès et est maintenant épuisé au format papier. Mais nous vous le proposons en téléchargement pdf. Celà vous permettra de lancer plus facilement des recherches...
Ce guide détaille, de façon précise et illustrée, toutes les étapes nécessaires à la restauration d'une malle (cf sommaire)
Vous pouvez le commander auprès de notre site
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-L'univers des malles
Leur histoire, les marques .
-Reconnaitre une malle
Les modèles , les usages
-Les outils et le matériel
-Anatomie d'une malle
Les parties, les pièces, les revètements
-Diagnostic-Précautions
-Déposer et reposer une étiquette
-Nettoyer en profondeur
-Traiter le bois
-Restaurer les éléments en bois
-Teinter, cirer, vernir ou peindre
-Traiter le cuir et ses imitations
-Les poignées (Cuir, métal)
-Nettoyer les ferrures - Remplacer un élément en métal
-Réparer une serrure
-Réparer une charnière
-Remplacer la toile extérieure
-Refaire l'intérieur
-Système de sécurité enfants
-Casier et tiroirs
-Malles commodes
-Malles armoire
-Aménager une malle
-Acheter une malle ancienne
-Fiche diagnostic vierge
-Bibilographie
-Patron de cintres et poignées
Si l'on considère, en général, que la frontière entre malle et coffre est très floue, on peut néanmoins s'aider de quelques éléments pour définir ce qu'est une malle.
Tout d'abord, une malle est un meuble en bois, le plus souvent du peuplier, qui comporte presque systématiquement à l'origine un revêtement extérieur le recouvrant (toile, cuir, skaï, pégamoïd ou simple tissu...), et un revêtement intérieur la capitonnant (papier, tissu, relon, cuir...), contrairement à toute forme de coffre sauf exceptions :-)) évidemment pour simplifier !
La malle est principalement faite en bois d'usage (peuplier, sapin, fruitier...), léger de préférence, contrairement au coffre, fait souvent en bois noble, tel que le noyer ou le chêne et également suivant les régions en sapin (bois lourd). Une malle a comme fonction première de voyager et à cet effet, se doit d'être légère et résistante. Pour cela, les malletiers renforcent de ferrures et de lattes la structure du fût de la malle. Ainsi, une malle qui tomberait d'un quai de chargement est suffisamment souple et résistante pour ne pas casser, contrairement à un coffre en bois, dont la structure, certes très solide, ne résistera pas à un choc violent sur un angle par exemple.
➡️Cliquez pour en savoir plus sur l'histoire du voyage et des bagages.
Les malles bombées trouvent leurs origines dans les coffres d’antan.
Elles sont bombées dans un sens ou dans les deux sens, comme un tonneau. Une malle se doit d'être protégée par des lattes et équipée d’angles et de coins (métal, laiton, cuir, peau, voire dans certain cas carton). On trouve des malles à partir de 1800 env., mais le plus souvent, elles datent de l’essor du voyage, aux alentours de 1850 et après.
On trouvera souvent des malles de 80 cm de large pour 50cm de haut et 50cm de profondeur environ. Les malles bombées dépassent plus rarement le mètre.
➡️ Cliquez ici pour découvrir nos malles bombées Malle en coin.
![]() Malle bombée cornières cuir, de marque De l'Hopital |
![]() Malle bombée toile sèche |
![]() Malle bombée en cuir, bois et laiton
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![]() Malle bombée toile enduite
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![]() Malle bombée toile rayée, aux env. de 1880 (anonyme) Cette malle a été restaurée et a rejoint le cabinet de toilette de Nap 3 au sein du musée du château de Fontainebleau. |
![]() Malle Alsacienne de marque Sturm à Strasbourg
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Plus faciles à empiler, les malles plates sont le plus souvent recouvertes d’origine d’une toile enduite.
➡️ Découvrez nos malles plates à vendre sur le site de la malle en coin.
(voir la photo ci-dessous)
Cette pièce est typique de la production de malles plates à partir des années 1900.
➡️À lire, notre article sur les malles courrier Vuitton, pour découvrir ce qu'est une malle courrier. Malles pour homme ou pour dame, finitions et toiles, conseils d'aménagement...
Les malles cintrées ont leurs origines dans l’Est de l’Europe. Elles sont courantes dans l’Est de la France, en Allemagne, en Autriche... À la façon de Thonet pour ses sièges de bistrot, on a mis au point le cintrage à l’étuve des lattes de malles. Les malles cintrées représentent l’idéal de la malle. Elles sont légères par leur construction en placage lamellé de peuplier et à la fois souples et très résistantes. Il existe des malles cintrées de toutes les formes. Elles sont sécurisantes pour les enfants, car leur capot est très très léger.
➡️Retrouvez les malles cintrées en vente sur notre site.
![]() Malle cintrée courrier
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On distingue les petites malles de poupée, pour jouer à la poupée avec une jolie malle à l'échelle, et les malles de poupée un peu plus grandes, qui permettent de ranger une poupée. Certaines pièces ressemblent, par leur qualité, à des ouvrages de maîtrise.
➡️Nos malles de poupées sur le site de la malle en coin.
En cinq minutes de vidéo, découvrez toute la diversité et la richesse des malles de poupée. Leur histoire et leur style, très logiquement, a suivi les évolutions des malles de voyage. On y retrouve les malles plates, les malles bombées, les malles wardrobe...
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Malle de poupée USA | Malle de poupée avec sa toile d'origine |
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Malle de poupée en cuir et laiton, plate et commode (19ème) |
Malle de poupée plate recouverte de tôle peinte |
Accessoire essentiel au 19e siècle, la malle à chapeau existe sous différentes formes.
- On en trouve à un chapeau, qui contiennent un chapeau-claque homme, parfaitement protégé par une forme inverse à celle du chapeau épousant ses formes.
- On trouve aussi des malles à chapeau pour femmes, soit avec des casiers en lanières, soit équipés de champignons, sortes de demi-sphères permettant de fixer les chapeaux sur chaque face de la malle.
➡️Découvrez également notre article dédié aux malles chapeaux, ou découvrez la vidéo ci-dessous, dans laquelle Jean-Philippe vous raconte l'histoire de ces malles bien particulières, en s'appuyant sur des modèles de la maison Vuitton.
La malle armoire ou Wardrobe (souvent appelée malle cabine) a été inventée dans les années 1875, mais c’est en 1890 qu’elle se commercialise réellement. On en trouve avec des configurations très diverses. La plus traditionnelle est une disposition avec une partie cintrée et une partie tiroirs, mais certaines disposent d’un abattant formant un secrétaire, certaines sont uniquement configurées en tant que penderies ou même uniquement en tiroirs.
Les accessoires les plus divers peuvent compléter ces malles. Sur certaines, on trouve un fer à repasser, une table à repasser, une valise à chaussures... L’imagination des malletiers est sans limites. Ainsi, on a vu des malles armoires bibliothèques, des malles armoires bureaux, des malles armoires pour ranger les accessoires de cuisine (Goyard).
➡️Retrouvez les malles armoires en vente sur le site de la malle en coin.
➡️Découvrez également notre article sur les malles armoires Louis Vuitton, qui vous présente de manière complète les différents modèles, des plus standards au plus originaux, depuis le premier brevet déposé aux alentours de 1852.
➡️ Vous pouvez trouver plusieurs modèles de malles commodes sur le site de la malle en coin.
Découvrez également quelques photographies de malles commodes ci-dessous.
Les malles Automobile sont intimement liées à l’évolution de l’automobile. Les véhicules étaient confiés d’une part à un carrossier et d’autre part à un malletier, qui réalisait sur mesure la malle désirée (ersatz de notre coffre actuel). On trouve donc, pour cette époque du début de l’automobile, autant de modèles de malles que de types de carrosseries. Plus tard, la malle a changé de place sur l’automobile, elle fût placée à l’intérieur du coffre, sur le toit, sur les ailes, sur le capot arrière et prit des formes très originales, selon les besoins.
Les malles en osier pourraient faire l’objet d’une étude à elles seules...
Cependant, l’osier est une matière vivante, particulière qui nécessite des connaissances en vannerie pour être restaurée. Légère, peu coûteuse, elle a néanmoins comme inconvénient de ne pas être étanche...
➡️ Vous pouvez trouver sur notre site des modèles de malle en cuir.
Découvrez également une sélection de malles en cuir ci-dessous.
Une malle courrier Louis Vuitton recouverte de cuir naturel, et une malle 100% cuir, deux très belles pièces.
Découvrez ci-desssous deux exemples de malles en métal. L'une bombée et l'autre plate.
Une malle bombée américaine, dont le style est très reconnaissable, (voir la partie "malles américaines") et une malle militaire en métal.
Les malles d’origine américaine répondent aux mêmes besoins de voyage que les autres, aussi ces malles ne sont évidemment pas d'une forme propre mais leur bijouterie est, par contre, caractéristique.
La bijouterie est plus chargée, souvent "sculptée", le bois n'est pas du peuplier et sa section est plus épaisse. Les serrures sont différentes, plus rarement en laiton. Les coins, particulierement renforcés, sont souvent datés, voire dans certains cas, siglés.
La créativité des malletiers étant sans limites, on trouve régulièrement des malles suprenantes, telles que la malle-lit, la malle-secrétaire, ou même des malles créées en l'honneur d'une personnalité, telle que la malle Stokowski ou la malle Lily Pons...
➡️À lire : notre article racontant l'histoire de la malle Lily Pons, créee sur mesure pour la célèbre cantatrice.
➡️Trouvez sur notre site une sélection de malles suprenantes, dans leurs formes et leurs fonctions.
➡️...Et aussi des malles atypiques à restaurer !
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